Administration des Deux Nations et du Duché de Saxe

Afin de préserver nos frontières, nous lançons le recrutement d'un certain nombre de troupes :

Infanterie de Ligne (1000) x30 = 30000
Infanterie Légère (800) x12 = 9600
Grenadiers (2000) x12 = 24000
Infanterie Saxonne (1500) x10 = 15000

Dragons (1200) x12 = 14400
Hussards/Uhlan (2000) x6 = 12000
Hussards Ailés (4000) x6 = 24000

Canons de 6 livres (800) x12  = 9600
Canons de 24 livres (3000) x6  = 18000

Total : 156 600 koku et 78 900 soldats

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Ce sera fait Majesté. Avec cela, nul doute que nos ennemis trembleront de peur.

La première réforme coutera immédiatement un millier de Thalers pour la recherche tandis que la seconde en coutera 4000. Il faudra également compter un entretien annuel de trois cents Thalers pour vos agronomes.

Le tout est payé. Nous attendons d'énormes bénéfices. Après tout, l'agriculture représente 90% de nos exportations. Si l'on produit jusqu'à 800% de plus, nous y gagnerons énormément.

|o| Le Roi de la République des Deux Nations et Duc de Saxe ordonne par décret que chaque ferme disposant d'une batteuse autorise ses serfs à récupérer un jour par semaine. En effet, les serfs sont obligés de travailler 6 jours sur 7 pour les terres des nobles. Le dernier jour est un jour de repos. De ce fait, ils n'ont pas l'opportunité de travailler leur propre lopin de terre ce qui nuit à leurs conditions de vie. La batteuse permet de gagner un temps considérable en ce qui concerne le travail à la ferme. De ce fait, plutôt que d'obliger les serfs à travailler d'avantage pour un petit bénéfice, nous préférons encore les autoriser à cultiver leur propre lopin de terre pendant 1 jour par semaine. Nous ne perdrons ainsi pas en production, surtout avec les semeuses, mais nous donnerons de meilleures conditions de vie aux serfs. Ils vivront mieux, seront plus riches qu'avant et surtout, cela réduira la mortalité au sein de cette classe de la population. Nous espérons par ce décret améliorer notre économie et renforcer la population de nos terres, qui est bien faible comparativement à la surface dont nous disposons. Normalement, cela ne devrait rien nous coûter.

|o| Le système d'attribution suédois (indelningsverket) est un exemple que devrait suivre l'intégralité des nations d'Europe. Ce système permet de disposer rapidement de conscrits volontaires et entrainés, ce qui représente évidemment un avantage certain en cas de guerre. Bien entendu, nous devons l'adapter aux contraintes politiques de la République des Deux Nations. Ainsi, nous nous devons d'écrire des contrats avec les comtés, les provinces mais également les nobles (qui possèdent de larges terres pleines de serfs), déclarant qu'ils auraient à lever et fournir un régiment de 1000 hommes en temps de guerre comme en temps de paix. Généralement, quatre fermes uniront leurs forces afin d'équiper un soldat. Ainsi, en fournissant un soldat équipé qui ferait carrière dans l'armée, le reste des travailleurs de ces quatre fermes échapperont à la conscription. Le devoir du soldat est d'assister à des exercices militaires et, en temps de guerre, de se présenter au travail, où que ce soit nécessaire. Le soldat gagnerait en échange le droit de posséder une toute petite ferme donnée par les quatre fermes s'étant unies. Les nobles laissant leurs serfs participer à ce programme gagneront des réductions d'impôts en fonction du nombre d'homme fournis, sachant qu'il y a un maximum en fonction du nombre de fermes qu'ils possèdent. Ce décret est la parfaite transposition du système d'attribution suédois.

Quels seraient les effets de cette reproduction du système de conscription suédois [HRP : en terme de règle ici. Je peux faire appel à mes conscrits ?] ?

Cela conduira à une légère hausse d'instabilité, le servage étant très présent dans la République mais aura un effet positif sur votre économie. Comptez 1500 Thalers pour promulguer le décret.

Mettre en place un système de conscription en Pologne Lituanie augmentera légèrement votre instabilité et nuira légèrement à votre économie en cas de guerre. De même, plus le temps passera et plus le système se révèlera efficace. Pour l'instant, en cas de guerre, comptez 10.000 hommes supplémentaires de faible qualité. Il faudra cette fois ci comptez sur une somme de 15.000 Thalers pour cette première réforme. Des coûts supplémentaires pourront être engendrés au cours du temps (s'accompagnant d'une hausse de l'efficacité).

Nous payons pour tout cela. Nous notons le fait que cela revienne à 1500 le régiment de conscrits de faible qualité, mais nous espérons que leur entrainement et leur nombre augmenteront avec le temps tandis que les coûts diminueront.

|o|Nous allons à présent nous lancer dans ce que l'on appelle la rotation des cultures. Un meilleur sol signifie de meilleures récoltes. En regroupant nos champs par quatre, toutes les cultures sont cultivées chaque année, juste dans un endroit différent. Les agriculteurs polonais ont longtemps pratiqué la rotation des cultures, laissant un des champs en jachère un an tous les quatre ans afin de leur permettre de retrouver leur fertilité. Ce système fonctionne, mais cela signifie qu'un quart des terres agricoles ne produit rien chaque année. Cela réduit les bénéfices et l'approvisionnement alimentaire. Nous allons donc modifier ce système et le moderniser. A la place de laisser un des quatre champs en jachère chaque année, nous y cultiverons une culture supplémentaire réellement utile au sol, comme le trèfle ou le navet (qui repoussent notamment les insectes et aèrent les sols). Les trèfles et les navets servent en fait à nourrir les bêtes. Ainsi, les élevages pourront librement manger sur le champ concerné et améliorer la fertilisation grâce à leurs excréments. Ce système va permettre d'utiliser un champ qui ne sert à rien et le transformer en quelque chose de productif. Nous utiliserons la rotation des cultures sur nos terres royales et ducales afin là encore d'inciter les nobles à suivre ce processus.

|o|Nous passons à présent à l'élevage sélectif des animaux. Nous allons améliorer les caractéristiques de nos élevages en faisant se reproduire les éléments les plus intéressants. Par exemple, choisir comme reproductrices des poules ayant la ponte la plus précoce, la plus durable ou les œufs les plus gros, ou encore, sélectionner le taureau reproducteur en fonction des performances laitières de sa mère, ainsi que celles de ses sœurs. Nous créons pour cela un nouveau métier : le contrôleur d'élevage. Ce lettré devra scrupuleusement noter les performances de chaque bêtes dans les fermes étant sur le territoire dont il aura la charge. Ainsi, il pourra indiquer aux fermiers et serfs locaux les meilleurs croisements possibles. Comme à notre habitude, nous emploierons ces méthodes sur nos terres ducales et royales.

|o|Enfin, ce précédent décret nous amène à l'élevage des chevaux de remonte et de bâts. Un cavalier en campagne doit généralement utiliser une dizaine de chevaux tout au long du conflit. Les chevaux de remonte servent à remplacer ou alterner les bêtes de ces cavaliers et représentent un marché très lucratif en Europe, et pourtant très peu exploité. La République des Deux Nations possèdent de très larges terres prenant la forme de grandes plaines vides et peu peuplées : un environnement idéal pour l'élevage de chevaux. A cela s'ajoute notre réforme sur la rotation des cultures améliorant nos élevages, mais également l'élevage sélectif des animaux qui nous permettra de constamment améliorer l'endurance, la vitesse et/ou la puissance de nos chevaux. Ce décret nous permettra de fournir nos armées, nos fermiers pour les semeuses, mais également de disposer en Europe des meilleurs chevaux mis en vente. Nous allons donc employer ce système sur certaines des fermes royales et ducales. Pas toutes, car nous avons également d'autres élevages à exploiter.



Tout ces décrets ont un but clair, nous sommes entrain de tenter une révolution de l'agriculture polonaise [HRP : Quand l'Angleterre le fit, elle doubla littéralement sa population en un siècle]. La richesse d'un pays se mesure à sa population. En fournissant de la nourriture en abondance, mais également des outils de qualité, nous pouvons être certain de voir un bon démographique très rapidement.

Combien coûteront ces réformes ?

Compter 2.000 Thalers, 2.000 Thalers et 6.000 Thalers.

Nous payons, bien évidemment.

|o| A présent que nous avons révolutionner notre agriculture et notre élevage, il est temps de faciliter la circulation des biens au sein du territoire. Nous allons donc nous attaquer à un domaine souvent oublié et pourtant extrêmement important : le réseau routier. Faire une route est cependant onéreux, et même si ce sont les collectivités locales qui se chargent de l'entretien, il vient un moment où nous devons les remplacer. C'est pourquoi nous devrions dès à présent utiliser un type de route qui ne se dégradera pas aussi facilement et qui sera plus facile à entretenir. Ainsi, nous n'allons pas simplement paver le sol de grosses pierres rectangulaires, mais réellement nous lancer dans la construction d'un ouvrage résistant et agréable à utiliser. Le principe est simple, il suffit de procéder en couches successives : de gros éléments sont placés à la base, pour assurer la solidité, puis de plus petits pour combler les vides et enfin, en surface, une couche de matériaux finement concassés puis compactés vient fermer l'ensemble. La chaussée sera également dotée d'une pente transversale, c'est-à-dire des enrobées drainants le film d'eau qui se forme en surface de la route. La route en elle-même sera légèrement surélevée par rapport aux terrains voisins, ce qui assure réellement un abris vis-à-vis de l'eau. La boue ne pourra pas s'accumuler et nos routes auront une meilleure longévité. Ces toutes petites tranchées le long des voies pourront même servir de point d’irrigation pour les fermiers [HRP : Je m'inspire très grandement des routes Macadam inventées durant cette époque auxquelles je rajoute quelques autres améliorations datant également de ce siècle]. Bien évidemment, nous nous attendons à ce que ce type de route soit légèrement plus cher qu'un simple pavage. Mais la qualité d'une telle voie favorisera grandement le commerce et facilitera la circulation. De plus, l'entretien sera bien moins problématique. C'est donc un investissement nécessaire et gagnant. Nous allons dans un premier temps réaliser une route suivant l'itinéraire suivant : Gdańsk-Chełmno-Toruń-Płock-Varsovie-Lublin-Chełm-Bełz-Lviv-Halicz. Voici une carte détaillant ce parcours :

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Gdańsk étant notre principale port, c'est d'ici que part l'ensemble de notre commerce maritime. En construisant cette route, nous nous assurons de pouvoir transporter nos produits jusque là-bas de manière efficace et rapide, mais également de diffuser les importations sur nos multiples marchés bien plus facilement.



|o| Les Tchèques, durant la croisade contre les hussites de 1420, utilisèrent un mortier appelé canon court "houfnice" pour bombarder les ennemis regroupés tout en restant cachés. Habituellement, les mortiers n'étaient utilisés que durant les sièges afin de contrer les fortifications trop solides pour être entamée par les tirs directs des canons. Mais pourtant, en les mettant sur roues et en réduisant leur taille, ces mortiers pourraient tout aussi bien servir durant une bataille terrestre. Le Baron Menno van Coehoorn, principale rival de Vauban, a inventé un mortier portable qu'il utilisa avec succès durant le Siege de Grave en 1673. Il n'y a donc plus qu'un pas avant de pouvoir les utiliser contre de l'infanterie [HRP : Ce fut finalement le cas durant la bataille de Glen Shiel en 1719.]. Je souhaite donc que les ateliers de la République des Deux Nations entament des recherches sur la création d'un mortier sur roue pouvant tirer des obus explosifs avec une relative précision. Pour cela, nous privilégierons un canon court de 12 livres, ce qui réduira légèrement la distance de tir par rapport à canon de 12 livres, mais permettra de plus facilement atteindre les bons groupes d'ennemis avec sensiblement la même précision. Ainsi, par exemple, nous pourrons facilement utiliser ce mortier juste avant de lancer une charge de cavalerie, et ce afin de briser les formations ennemies, mais nous pourrons également l'utiliser pour désorganiser une charge importante à notre encontre. Enfin, nous pourrons toujours l'utiliser en batterie lors des sièges. Nous appellerons cette arme un canon "Haubitze" de 12 livres [HRP : ancêtre du mot Howitzer ou Obusier.].

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|o| Enfin, nous aimerions créer des camps d'entrainement à Varsovie, Lviv, Lublin, Vilnius, Gdańsk et Dresden. C'est-à-dire dans chaque ville où se situe une de nos armée. Non seulement nous pourrons plus facilement exercer les conscrits de ces régions, mais nous pourrons également faire en sorte que nos armées s'exercent et renforcent leur organisation.

Comptez 20.000 Thalers pour l'amélioration du système routier. Cela aura un effet positif sur le commerce transitant dans la zone, sur l'économie globale de ces régions et sur la vitesse de déplacement de vos forces.

Nos ingénieurs se mettent donc au travail ! Il faudra un investissement de 10.000 Thalers et un entretien annuel de 1.000 Thalers pour financer la recherche, nous pensons pouvoir vous présenter les prototypes d'ici quelques années.

Comptez 6.000 Thalers pour l'établissement de ces camps.

La Couronne paye.

|o| Johann Friedrich Böttger est un chimiste allemand qui fit croire au Roi de Prusse, Frédéric-Guillaume I, qu'il avait trouvé la Pierre Philosophale. Le Prussien exigea de connaître le secret de cet artefact. Apeuré, Johann s'enfuit en Saxe où nous le fîmes arrêter... ou plus exactement, nous le plaçâmes en détention de sûreté. [HRP : Historiquement, Auguste II demanda alors à Böttger de réaliser la Pierre Philosophale pour lui, ce qui n'est évidemment pas possible. Puis au bout d'un certain nombre d'années d'échecs, il ordonna à Ehrenfried Walther von Tschirnhaus de prendre Böttger comme assistant afin de trouver le secret de la Porcelaine, que seuls les chinois pouvaient fabriquer. En un an seulement, ils trouvèrent la formule de cette céramique valant autant que l'or et l'argent.] Nous avons besoin d'or, mais nous ne croyons pas en cette histoire de Pierre Philosophale. Cependant, Böttger est incontestablement un génie. Essayons de le détourner de l'alchimie vers la chimie en le faisant travailler pour l'un des plus grands savants de Saxe, Ehrenfried Walther von Tschirnhaus. Nous souhaitons découvrir les secrets de la Porcelaine et ainsi gagner énormément d'or en l'exploitant. Ce sera un peu notre Pierre Philosophale ! Nous souhaitons qu'un laboratoire soit monté à Dresde, dans une annexe du Château de la Résidence (le palais du Prince Électeur). Ainsi, sous bonne garde, les recherches pourront demeurer secrètes. Je veux que von Tschirnhaus dispose de tout ce dont il a besoin. S'il désire des échantillons des mines de kaolin de Schneeberg, nous lui en fournirons autant que possible. Veillez à ce que nos deux savants soient excessivement bien lotis. Je ne souhaite pas qu'ils tombent malades ou soient inquiétés par les aléas de la vie courante. Fournissez-leur des domestiques et tout le confort nécessaire. Le jour où ils découvriront le secret de la porcelaine, nous serons remboursés au centuple !

|o| Nous, Auguste II, dit « le Fort », Roi de Pologne, Grand-Duc de Lituanie, Prince-Électeur de Saxe, Comte Palatin de Saxe et Margrave de Meissen, apprécions particulièrement les œuvres d'art et les intellectuels [HRP : Selon Voltaire, la cour de Saxe d’Auguste le Fort était "la plus brillante d’Europe après celle de Louis XIV"]. Nous nous targuons d'être un collectionneur exceptionnel : peintures, armes, pièces d’argenterie et d’orfèvrerie ornent notre château de Dresde. Nous apprécions particulièrement la porcelaine et nous disposons d'un grand nombre de ces ouvrages de Chine. Mais nous souhaitons également que Dresde devienne la Florence du Nord. Nos pièces de collection, qui étaient jusque-là toutes entreposées dans la Rüstkammer, deviennent trop nombreuses, et nous dûmes constituer des collections distinctement organisées. Nous souhaitons montrer le rayonnement et la finesse du Royaume, c'est pourquoi nous souhaitons que la Voute Verte (à l'origine, ensemble de salles servant de chambre de trésor secrète pour les bijoux précieux et les documents importants) soit transformée en musée public où nous pourrons exposer notre gigantesque collection. Nous souhaitons aménager huit salles somptueuses dans lesquelles nous rassemblerons nos trésors artistiques. Nous demandons à Matthäus Daniel Pöppelmann, Directeur des Bâtiments de Saxe, mais également aux français Le Plat et Longuelune, de se charger de la reconstruction de ces salles du Château de la Résidence de Dresde. La somptuosité de ce musée doit répondre à l’éclat des joyaux de notre collection [HRP : je suis l'histoire car je trouve ça stylé]. Nous en profiterons pour entièrement rénover et réaménager le palais. Nous souhaitons un style baroque de notre époque et ne regarderons pas à la dépense.

|o| A l'image de ce palais, nous souhaitons transformer l'intégralité de Dresde en capitale de l'art et de la technologie [HRP : là encore, je suis l'histoire car je trouve ça stylé]. Nous souhaitons inviter les meilleurs musiciens, scientifiques, architectes, inventeurs et peintres à travailler en notre belle capitale de Saxe. Pour ce faire, nous proposerons simplement notre mécénat à ces génies. En leur versant de l'argent pour qu'ils puissent librement accomplir leurs œuvres, en finançant leurs recherches ou leurs constructions, en leur offrant des locaux où exposer, nous garantissons à Dresde un avenir radieux. Ainsi, nous avons déjà invité les architectes français Le Plat et Longuelune. Nous pourrions également inviter des compositeurs tels que Arcangelo Corelli, Johann Pachelbel, Antonio Vivaldi, Tomaso Albinoni, François Couperin ; mais aussi des peintres et des sculpteurs comme Robert Le Lorrain ; des scientifiques tels qu'Isaac Newton et Gottfried Wilhelm von Leibniz. Libre à notre cours de nous proposer des noms intéressants. Là où nous nous différencierons des autres mécènes, c'est que non seulement nous tâcherons de donner plus d'argent à nos invités, mais que nous leur laisserons également toute latitude pour s'exprimer comme ils le désirent. Nous allons d'ailleurs nommer un ministre qui sera spécifiquement chargé de s'occuper de nos mécénats et de l'accueil de ces hommes d'arts et de sciences [HRP : Inutile de me dire si telles ou telles personnes vient ou non (sauf si c'est un mec comme Vivaldi ou Newton !), c'est juste histoire de montrer que je souhaite devenir le meilleur et plus grand mécène d'Europe, et payer une belle somme en Entretien, chaque année, pour cela.].

Ce sera fait Majesté. Comptez 40.000 Thalers pour les recherches des trois prochaines années.

Un tel réaménagement de votre somptueuse résidence vous coutera la "modeste" somme de 50.000 Thalers par tour. Les travaux seront probablement terminés en 1709. Zacharias Longuelune pourra être disponible à partir de l'année prochaine, des travaux le retenant en Italie. Le Plat est directement disponible.

Il nous faudra un budget de 8.000 Thalers par tour pour entretenir et attirer de nouveaux artistes et intellectuels.

Tout est payé.