Affaires militaires

Remarquant le manque de flotte militaire dont souffre le sultanat, les autorités ont demandé la construction d'une moyenne jonque et de deux petites jonques (coût total : 1600)

Trois régiments de miliciens (coût : 900) ont été levés et placés sous le commandement d'un noble du sultanat, le général Boyakarto (fictif). Ces troupes se placeront dans la flotte de guerre de Banten et dormiront dans le port de Cirebon. Une fois le signal donné, les trois régiments se joindront aux partisans du plus jeune prince de Cirebon pour prendre la ville.

La flotte sera quand à elle commandée par l'amiral Hartono (fictif), ancien capitaine de navire marchand. La flotte transportera les navires jusqu'à Cirebon et demandera à mouiller dans le port et laisser les soldats dormir dans le port de Cirebon (avec l'appui du prince complice).

Une fois la nuit tombée, la flotte tirera une salve de canons vers la mer pour déclencher l'attaque de l'infanterie, qu'elle appuiera ensuite avec ses canons.

Dès que les miliciens seront rassemblés dans le port de Banten, l'opération commencera afin d'avoir lieu avant la mousson, et l'annexion se fera dès la victoire avec la signature (sous la menace) de l'acte d'annexion par les deux princes non complices, et le troisième deviendra seigneur de l'ancien sultanat. Les deux autres princes et leur cour seront mis en esclavage pour être ensuite vendus à la puissance occidentale qui en offrira le plus.

Sultan, il est fort peu probable que le Cirebon n'autorise nos forces à pénétrer ses murailles tranquillement...

Même si en guise de bonne foi nous autorisons Cirebon à placer ses troupes (des partisans du prince complice évidemment) pour surveiller les nôtres ?

Bien sûr... Aucun chef d'état n'accepterait de laisser trois mille hommes pénétrer au sein de sa capitale.

Dans ce cas, demandons que seulement cent hommes descendent sur les quais pour surveiller des marchandises achetées pour ravitailler la flotte. Ce sera suffisant pour débarquer les 2900 autres.

Vous ne comprenez pas... Aucuns de nos hommes ne sera autorisé à débarquer ! Ni notre flotte a appareiller.

Alors nous entrerons dans le port de nuit, sans lumières ni pavillon, nos jonques militaires déguisées en navires de commerce et les partisans dans la ville sécuriseront notre débarquement.

Suite à l'échec de notre tentative de coup de force contre le Sultanat de Cirebon, il a été décidé de recruter une unité de cavalerie et une unité d'infanterie de ligne asiatique afin de pouvoir mener une guerre contre Cirebon. Un régiment de milice restera à Banten tandis qu'en janvier le Sultan a demandé à ce que l'armée de guerre (2 régiments de miliciens, un d'inf de ligne asiatique et un de cav) se place à proximité de la frontière.

Cependant cette guerre à un coût et il ne reste que 700 pierres précieuses sur le budget 1700-1703. Le Sultan a ordonné qu'on les dépense dans un système logistique efficace et a demandé au général Boyakarto de ne pas commettre de pillage pendant la campagne qui suivra, ainsi que d'affranchir tous les esclaves des territoires conquis, et ce afin de s'assurer le soutien de la population.

Au niveau maritime, il a été décidé qu'une fois la petite jonque réparée, la flotte de l'amiral Hartono ira attaquer les navires marchands de Cirebon.

HRP : Je place le petit fort à Banten

Dès la fin de la mousson, la totalité de l'armée à l'exception d'un régiment de miliciens qui restera garder le fort de Banten se placera sur la route de ravitaillement des troupes du sultan de Cirebon qui tiennent Bandung. Les forcer à sortir de la ville permettra à notre cavalerie de les contourner une fois que notre infanterie les aura accroché. La cavalerie chargera ensuite dans leur dos. Même s'ils restent s'affamer dans la ville, ce n'est qu'une question de temps avant qu'ils soient forcés à combattre.

Quand à la flotte, elle ira s'attaquer aux navires marchands de l'ennemi.

Alors que le fort néerlandais à Banten est terminé et qu'il protège la ville, le troisième régiment de miliciens viendra s'ajouter à l'armée pour augmenter sa puissance de frappe. (Désormais constituée de trois régiments de miliciens, un d'infanterie de ligne et un de cavalerie) Le fils du sultan prendra le commandement des cavaliers qu'il nous reste.

L'ennemi s'étant replié dans Bandung, le général Boyakarto prendra la ville (non fortifiée) d'assaut avec les trois régiments de milice qui viendront jusqu'au corps à corps pour rendre inefficace la plus grande précision au tir de l'infanterie de ligne ennemie. Notre unique régiment d'infanterie de ligne ira soutenir les miliciens aux endroits critiques tandis que la cavalerie du prince veillera à empêcher que celle de l'ennemi ne vienne charger dans le dos de l'infanterie de Banten.

L'Amiral Hartono a gagné de l'expérience en combat naval et aura donc la charge de surveiller la flotte de Cirebon pour l'attaquer avec ses navires lorsqu'elle sortira du port fortifié de leur capitale.